Coucou les amis !
La mode est une prise de risque quotidienne vous savez. Entre stilettos casse-gueules, vêtements immettables, budget tristement limité et la multitude de tendances sous laquelle nous croulons toujours, la mode repousse toujours ses limites et me pousse parfois dans mes retranchements. Oui, avoir du style, ça se travaille et la montée vers le sommet nécessite parfois quelques échecs. Des gros échecs. Le genre d'échecs qui, quand on regarde en arrière, nous donnent un peu ce genre de réaction :
La mode est une prise de risque quotidienne vous savez. Entre stilettos casse-gueules, vêtements immettables, budget tristement limité et la multitude de tendances sous laquelle nous croulons toujours, la mode repousse toujours ses limites et me pousse parfois dans mes retranchements. Oui, avoir du style, ça se travaille et la montée vers le sommet nécessite parfois quelques échecs. Des gros échecs. Le genre d'échecs qui, quand on regarde en arrière, nous donnent un peu ce genre de réaction :
Mais pourquoi t'as fais ça ?!
La robe longue - ou quand je me suis prise (à tort) pour une déesse grecque
Cela remonte à l'été dernier, pendant les soldes. Je me dis que l'occasion est idéale pour m'essayer à cette super tendance qu'est la maxi robe. Avec des exemples précis en tête (Nicole Richie la bobo chic, M-K Olsen la fashionista romantique), je suis prête à me lancer et jette mon dévolu sur une robe Zara d'un superbe vert, décolletée dans le dos. Le modèle, en tant que tel, est très beau mais ne me va absolument pas. Il réussit l'exploit d'être trop long (je ne suis pourtant pas petite), me fait des seins riquiquis et me donne l'air d'être enceinte de 6 mois et il y des (grosses) limites à l'auto-projection dans le futur.
La combi-short - ou quand je me suis prise pour Katy Perry
J'ai donc eu plusieurs expériences avec la combi-short. La première est un échec cuisant. Une fois encore, je tente ma chance dans un modèle Zara, que je prends dans ma taille habituelle. Je me retrouve affublée d'une pièce plus moulante qu'un legging de Nicki Minaj et aussi confortable qu'un corset taille 14 ans. Je change de modèle et en choisit un autre en dentelle blanche, que je prends directement dans la taille au-dessus de la mienne Le résultat est mieux, je suis assez satisfaite dans la cabine d'essayage, même si je n'ai qu'un aperçu limité de ce que ça donne de dos. Tout va bien jusqu'à ce que je rentre chez moi et que je montre, triomphante, mon nouvel achat à ma mère. Celle-ci, qui est pourtant très tolérante à la vertigineuse petitesse de certaines de mes robes, me dit gentiment que la combi est très jolie mais que j'ai passé l'âge de porter des choses si courtes. Dur. Laissez-moi vous dire que moi et mes vingt petites années avons été fort offusquées.
Mes bottes ultra-fourrées - ou quand j'ai cru être la réincarnation de la reine des vikings
Mes quelques mois passés en Suède me sont un peu montés à la tête. J'avoue. A force d'affronter des températures plus négatives que mon compte en banque, j'ai fini par me prendre pour une déesse des glaces, une vénus des contrées nordiques et j'ai voulu adapter ma garde-robe à ce nouvel état d'esprit. Alors les boots, croisé subtil (ou pas) de UGG et d'escarpins plateformes, le tout recouvert de poil de yeti, bonne idée vous croyez ?
Mes quelques mois passés en Suède me sont un peu montés à la tête. J'avoue. A force d'affronter des températures plus négatives que mon compte en banque, j'ai fini par me prendre pour une déesse des glaces, une vénus des contrées nordiques et j'ai voulu adapter ma garde-robe à ce nouvel état d'esprit. Alors les boots, croisé subtil (ou pas) de UGG et d'escarpins plateformes, le tout recouvert de poil de yeti, bonne idée vous croyez ?
Ma jupe ultra-asymétrique - ou quand je me suis prise pour une blogueuse ultra hype.
Nous nous situons pour cet achat début janvier, pendant les soldes d'hiver. L'acheteuse compulsive que je suis scrute les bons plans, en particulier sur mon site de prédilection, Asos. Après des heures de repérages, de calcul de budget, de mise en situation fictive ("si j'achète ça, je pourrai le mettre avec mon pull noir et mes boots, par contre ça n'ira jaaaamais avec mes talons beiges..."), je finis par craquer pour un pantalon à paillettes à 18 euros (que j'aime à la folie) et une jupe. C'est une jupe, mais pas que. Elle est très, très asymétrique et a ce je-ne-sais-quoi de hyper tendance-décalé-fun-bobo-chic-pop.Parfaite vous dis-je. Et elle coute 15 euros. C'est parti. La commande est passée, je jubile déjà. Une longue semaine plus tard, je reçois mon butin et tente d'essayer la jupe.
La. Blague. Il me faut au moins 10 minutes pour ne serait-ce que comprendre le sens, pour finalement réussir à l'enfiler et ressembler plus ou moins à un sac à patate customisé par un enfant borgne de 5 ans . Bel échec.
La. Blague. Il me faut au moins 10 minutes pour ne serait-ce que comprendre le sens, pour finalement réussir à l'enfiler et ressembler plus ou moins à un sac à patate customisé par un enfant borgne de 5 ans . Bel échec.
Et, là les amis, LA, je me suis dit, on ne m'y prendra plus. Enfin, c'était jusqu'à...
... Mon pull chelou-qui-tue - ou quand j'ai perdu toute notion de beauté et d'esthétisme.
Heu... Voilà. Je ne sais même pas quoi dire devant cet extra-terrestre, je me demande encore ce qui m'a pris. En même temps, la vie sans quelques wtf dignes de ce nom ne vaudrait pas d'être vécue n'est-ce pas ?
Ce sera le mot de la fin ! :))
Et vous, vous en avez connu des petits ou gros échecs comme ça ?
Bises !
+++ Eli
Ahah le pull est génial ! (enfin, dans le sens où on l'entend bien sûr xD)
RépondreSupprimerAlooors, oui j'ai connu des échecs plutôt pas mal(comment tout le monde nan ?) mais je crois que ma mémoire sélective a décidée d'effacer ça car là maintenant rien ne me vient à l'esprit ! Je sais qu'une fois j'ai porté une combi-short vintage trop laide !
J'ai beaucoup aimé te lire et je dois dire que le pull est spécial ^^
RépondreSupprimerPour ma part, les échecs ?? Connaît pas !! Non je rigoles ^^ J'en ai eu quelques uns comme le legging qui ne me va absolument pas et mon côté garçon manqué quand j'étais jeune, enlevant toute féminité pouvant exister chez moi.
énorme cet article, je me rappelle de ta jupe asymétrique ! Par contre le pull serpillère me parait pas siiii horrible que ça, il fait un peu bloggeuse mode stylée pour le coup
RépondreSupprimerça aurait été cool de nous faire une photo de toi portant tous ces trésors modesques en meme temps ! haha
Sinon moi je me souviens d'une robe blanche sinéquanone que j'avais achetée sur un marché (donc sans l'essayer), absolument immettable : longueur approximative (elle m'arrivait au milieu des mollets...), et des bretelle tellement grandes que si je les rétrécissais pas (en faisant un nœud grossier de tte beauté) je serais surement arrêtée par les flics pour attentat à la pudeur tellement on verrait mes eins. Voilà voilà.
Ha ha, trop fort cet article. Mais je suis étonnée concernant la jupe asymétrique, je trouve ça toujours joli
RépondreSupprimerLOOOOOOL !! Beau le pull en effet, serpillère je n'aurais pas dit mieux ! Pas mal l'auto dérision :)
RépondreSupprimerAhah le piège de la maxi robe et c'est encore pire quand tu as du bidou mais je craque parfois (surtout si c'est vintage).
RépondreSupprimerBon après le pull je le trouve cool avec un slim et des boots en cuir ça passe, je pense :)